• Je crois que je n'ai pas su trouver les mots...

    Nck vient de m'appeler. Il était bouleversé. Son neveu est mort. Il avait six ans.

    Je ne savais que lui dire... J'ai l'impression de ne pas avoir été à la hauteur... Je n'ai pas su lui dire les mots qui auraient pu amoindrir sa peine. Je n'ai pas su lui montrer que j'étais là et qu'il pouvait compter sur moi...

    C'est en raccrochant que j'ai réalisé que c'est vers moi qu'il se tourne durant cette épreuve. Et je n'ai pas su trouver les mots...

    Et là encore, au lieu d'être attentive à sa peine je pense aux mots que je n'ai pas su dire...


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  • Je réalise qu'il faudrait que je vous raconte toute mon histoire avec Nck pour que vous puissiez comprendre réellement le lien qui nous unit et nous désunit... J'avais commençait à le faire sur mon ancien blog. Mais j'étais trop rentrée dans les détails des émotions passées. Je les revivais au fur et à mesure que je les transcrivais et finalement, je n'étais pas allée jusqu'au bout. Il faudrait donc que je relate cette partie de ma vie mais que je me cantonne uniquement aux faits. Il faudrait que je fasse une abstraction totale des émotions... puisque aujourd'hui ces émotions sont caduques, réellement liées au passé, je n'ai aucune amertume, aucun regret, aucune colère bloquée par rapport à cela...

    En ce qui concerne D. Nous nous sommes revus samedi. Il était passé à mon travail. C'était la première fois depuis mon retour que nous nous revoyons. Deux mois que nous ne nous étions pas vus ! Je l'ai même trouvé encore mieux que dans mes souvenirs ! Je l'ai accueilli avec le sourire dans les yeux. Comme à son habitude il était très volubile, lançant des blagues par ci par là juste pour le plaisir de me faire rire et celui de me provoquer. J'ai eu l'impression que tous les deux nous étions prêts à nous ouvrir réellement un peu plus l'un à l'autre.

    Il n'est pas resté longtemps. Avant de partir, il m'a dit : ‘‘Qu'est-ce qui se cache dans ton regard ? Quel est le message de tes yeux ?'' Et, avant même que je ne puisse lui répondre il s'en est allé... Ce qui se cache dans mes yeux ? Je ne sais pas... Le plaisir de l'avoir revu peut-être... ou bien une attention particulière à son égard... Il m'a appelé plusieurs fois par la suite dans la journée. Il m'a envoyé aussi plusieurs messages. Dans l'un d'eux il me demandait en substance si j'avais envie de faire l'amour avec lui... Je ne lui ai pas répondu. Il m'a donc téléphoné pour me dire qu'il attendait sa réponse... et il a raccroché...

    Mais moi, ce que je veux c'est qu'on me parle d'Amour... Pourquoi est-ce de sexe qu'il me parle ?

    Le soir, il m'a rappelé. Nous sommes restés près de 3 heures au téléphone. Nous habitons à environ à 10 minutes l'un de l'autre et nous restons tout ce temps au téléphone au lieu de nous rencontrer ! Je lui ai dis que sa façon de s'exprimer donnait à l'amour un caractère cynique et parfois même obscène ! Je lui ai dis aussi que j'en étais choquée et que je me sentais blessée dans ma féminité ! Il a été surpris par mes propos. Il a tenté de s'en sortir par une pirouette en affirmant que ce n'était qu'une façon de parler. Sur le ton de la boutade il m'a demandé si je préférais un homme cru ou un homme hypocrite... Mais j'ai insisté. Il m'a alors présenté ses excuses en précisant que s'il était uniquement intéressé par le sexe avec moi, il ne m'aurait pas appelé ainsi tous les jours et parfois plusieurs fois dans une même journée depuis que nous nous connaissons... Il a ajouté qu'il n'aurait pas entretenu autant "notre relation'' lorsque j'étais en G., la région voisine. Bref, il avait des arguments qui tenaient la route mais qui n'ont pas apaisé cette colère sourde qui bouillonne en moi lorsqu'il me réduit à un éventuel bon coup... alors, je lui ai rétorqué que certainement je devais représenter pour lui un défi, un challenge : Réussir à coucher avec "cette vierge effarouchée'' ! Il m'a répondu qu'il n'avait rien à prouver ni à lui ni à personne... Qu'il n'a pas besoin de se lancer ce genre de défi pour se prouver qu'il a de la valeur.

    J'ai envie de le croire... mais son attitude met une muraille entre lui et moi. Comment puis-je apprendre à le connaître dans de telle condition ?

    Nous avions rendez-vous hier soir. Mais, à la dernière minute je me suis rétractée. Il en a été déçu. Il m'a accusé de le faire marcher. Et sur le ton du désespoir il m'a dit qu'on en resterait là, que pour sa part il arrête tout...

    Petite précision pour moi, connaître un homme ce n'est pas faire l'amour avec lui ! Je voudrais insister sur la nuance : apprendre à connaître un homme pour moi c'est découvrir qui il est au-delà des premières impressions... Tout simplement.

    C'est vrai que j'aime Nck et que je ne pourrais pas l'oublier si vite. D'ailleurs telles ne sont pas mes intentions. Cependant, je suis dans l'acceptation qu'il ne soit pas prêt pour être avec moi en ce moment... Et moi, j'ai des objectifs à atteindre. Donc, je ne peux pas l'attendre. Je sais qu'il aura encore pendant très très longtemps une place privilégiée dans mon cœur. Je sais tout simplement que ça me prendra des années et des années pour l'oublier, ou pour ne plus avoir aucun sentiment pour lui, et encore...

    Mais j'ai choisi de m'ouvrir et d'accorder mon attention à d'autres hommes qui pourraient me plaire potentiellement. J'ai juste une attitude d'ouverture à l'autre. Ce n'est peut-être pas le meilleur choix mais c'est celui qui me convient le mieux en ce moment.

    De toutes les façons, je prends mon temps... Quoique, je me connais, je ne suis pas à l'abri d'un coup de cœur dévastateur qui me ferait croire que je suis tombée sur la perle rare que je recherchais depuis si longtemps, et foncer tête baissée et oublier tout le reste !!!  Et me ramasser lamentablement!

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  • Je me demande combien de temps nous faudra-t-il encore pour que nous cessions de nous fuir?

    J'ai l'impression que Nck et moi orchestrons ensemble un vaste jeu du chat et de la souris. Nous endossons tour à tour chacun des rôles. Inlassablement. A l'infini. Jusqu'à quand ?

    Pourtant, je me souviens...

    Il n'y a pas si longtemps de cela, juste quelques mois, Nck m'avait proposé de tout quitter, mon boulot, ma région, pour venir vivre avec lui. J'avais décliné sa proposition, bien que j'en étais profondément flattée et surtout troublée.

    Je n'étais pas prête à faire ce grand «sacrifice» pour lui. Et, je n'étais pas sûre qu'il était conscient de tout ce que ça impliquait... De plus, j'étais dans la phase de ma vie où j'avais réussi à le mettre dans une des cases les plus reculées de mon cœur et de mon esprit. Je ne pensais plus à lui quotidiennement. Et même si je ne pouvais nier la vivacité de mes sentiments à son égard, j'avais réussi à les canaliser. A cette époque, j'avais intellectualisé mon amour pour lui ce qui me permettait de prendre un véritable recul par rapport à lui. Je me souviens, à quel point j'étais fière de moi : choisir par amour pour moi, pour lui, de refermer tout doucement la porte et ne pas la rouvrir lorsque je voyais un coin de ciel bleu miroiter au dessus de nos espoirs... j'avais le sentiment d'être telle l'héroïne qui avait su vaincre les démons les plus pernicieux...

    Il y a eu cet autre jour où il m'a dit au téléphone: «Je n'arrive pas à aimer quelqu'un d'autre... Tu vois ce que je veux dire ?» Cette confidence venait suite à ma question : «Qu'en est-il de tes amours en ce moment ?». Je ne lui avais rien dit ce jour-là, je ne lui avais pas répondu de «moi aussi» ou autre phrase qui pourrait appuyer et encourager sa déclaration. Cependant, dans mon for intérieur j'avais répondu « moi aussi ». J'avais eu des coups de cœur pour d'autres hommes mais, avec le recul, je réalisais que ce n'était rien de transcendantal... du moins à côté de l'intensité de l'amour que j'éprouvais pour lui. Pourtant, j'étais restée silencieuse. J'avais réellement ressenti la sincérité de ses propos. Mais je n'avais rien dit...

    Et puis, il y a eu ce week-end qu'il a passé chez moi. Après deux ans nous nous retrouvions. Et je n'avais pu contenir tout l'amour que j'avais pour lui... J'en ai été moi-même la première surprise...

    Aujourd'hui, c'est moi qui ai relancé la valse. Mais, lui est resté debout sur le bord de la piste. Viendra-t-il m'y rejoindre ? Ou vaudrait-il mieux pour moi de continuer à danser seule, ou avec un autre cavalier ? Ce qui me rassure, je ne suis pas dans l'angoisse en ce moment, je n'attend pas fébrilement un signe de sa part... Je me sens en harmonie avec ce qui est, je n'ai pas envie de défoncer des portes, ou me battre absolument pour que nous soyons ensemble.

    Petit à petit, je commence à amorcer ce détachement, je laisse son souvenir glisser en dehors de moi... Bien loin de moi dans cet ailleurs où l'oublie embrase tout... Mais il ne faudrait surtout pas que je le revoie...

    Et si finalement, par débit ( ?), je prenais un peu de temps pour mieux connaître D. ?

    D. qui c'est ? Je vois vos airs ahuris... Oh ! Vous l'avez donc déjà oublié ? (un petit retour dans le passé.)  C'est vrai, que je ne vous en parlais plus... pourtant, il a été très présent durant ces derniers mois. Il m'appelait tous les jours. Et parfois, plusieurs fois par jour. Nous restions des heures à discuter au téléphone. Et j'avoue que j'admire sa patience et sa persévérance. A part cette admiration, qu'est-ce que j'éprouve pour lui ? Je dois reconnaître que parfois il m'agace, il parle trop, il me saoule un peu... Et puis, je n'oublie pas que malgré son assiduité il ne souhaite pas nécessairement s'engager. Et puis, j'ai l'impression qu'il ne m'écoute pas beaucoup. Il parle beaucoup mais il ne m'entend pas. Et puis aussi, j'ai l'impression que parfois il veut me choquer. Il croit que parce que je ne veux pas faire l'amour je suis une femme prude. Je suis sans cesse en train de lui rappeler que j'ai eu une vie par le passé et que si je ne veux pas faire l'amour c'est par choix... Je n'oublie pas non plus que lui ce qu'il recherche c'est faire l'amour avec une femme. Même si c'est sur le long terme : faire l'amour régulièrement avec une femme. Mais je n'ai jamais entendu de sa bouche des mots comme sentiment, amour... et il abhorre spécialement ceux d'engagement et de fonder une famille...

    Mais, peut-être se cache-t-il un prince charmant en lui ???


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  • Mon voyage est terminé. Me voilà rentrée chez moi.

    J'ai discuté avec Nck. Enfin, si je peux nommer ainsi notre échange.

    C'était jeudi matin, mon dernier jour dans sa région. Nous étions tous les deux dans le salon, chez lui. Il avait mis un CD De Norah Jones. Il buvait son café. Moi, J'étais debout près de la fenêtre, je regardais le jour se lever, le regard perdu dans les nuages qui dissipaient la nuit. Je jetais furtivement un coup d'œil à l'heure. 5h40. Dans 20 minutes Nck partirait au travail et je ne lui avais toujours rien dit. Je m'auto-flagellais par la pensée. Je me critiquais. Je m'accusais d'être lâche, de ne pas savoir saisir les opportunités. Je me blâmais aussi : pourquoi ai-je tant de mal à vraiment régler ce problème ? Certainement parce que je dois me complaire dans cette situation quoi que je puisse en dire...

    C'est là que la voix de Nck est venue briser ce soliloque. - Tu as l'air bien songeuse ce matin... A quoi penses-tu ?

    J'allais lui répondre machinalement : «Euh... A rien de spécial...».... Mais ma voix intérieure fût la plus forte. Elle s'exclama : « Vas-y... C'est le moment... c'est une perche ! » Je regardais l'heure... Dans un quart d'heure il partira pour le travail... Je dois donc être concise, précise, laisser le superflu de côté, aller à l'essentiel...

    « Ce à quoi je pense... Je rentre aujourd'hui... Qu'adviendra-t-il de nous ? On continue... On s'oublie... Que fait-on... »

    « Voici les bonnes questions !!! », me dit-il sans ironie, d'un air très sérieux. Puis le silence. Je le fixais d'un regard insistant, j'attendais une suite. Il prit une gorgeait de café. Me regarda. Il me fît un petit sourire gêné et me dit: «Et toi, qu'en penses-tu ? » Alors je me lançais dans un discours que je ne voulais pas trop long mais précis : « Ma réponse est multiple... Sur le plan de la raison c'est peut être une aberration de continuer... En plus, la distance ne va rien arranger... Mais... Moi, Ce que je veux vraiment c'est être avec toi... En même temps, je suis consciente que tu n'as pas vraiment envie d'être avec quelqu'un en ce moment... Et je sais que ça n'a rien à voir avec moi... »

    « Tu as très bien cerné la situation... Ce n'est absolument pas dû à toi... Mais c'est vrai qu'en ce moment j'ai peur d'être vraiment avec quelqu'un... » Nous en avions déjà discuté, mes cellules avaient très bien enregistré cette information. Il poursuivit : « En même temps, Je suis parfaitement conscient que tu as envie de t'engager dans une relation, de fonder une famille... Je ne peux te demander de m'attendre... » « Non, tu ne peux pas ! ». Durant toute la conversation, je voyais le visage de Nck s'animait de léger tic nerveux. Parfois, lorsqu'il ressent une émotion trop forte, son visage est assailli par des petits tressautements qui trahissent ce qu'il ne peut exprimer en mot. Il commençait des phrases qu'il ne savait terminer, des idées qu'il laissait en suspens... Il finit par me dire d'une voix mal assurée après moult hésitations : « Peut-être qu'on peut rester ainsi... Et si tu rencontres quelqu'un d'autres... On laisse jouer la sélection naturelle... » Je ne pris pas la peine de lui dire que j'étais choquée par sa proposition mais je lui expliquais qu'il m'était impossible de m'ouvrir à une autre relation tant que je n'avais pas réglé celle-là, je ne savais pas agir ainsi, qu'une partie de mon énergie restait canalisée vers lui...

    L'heure était arrivée. Il fallait qu'il aille au travail. Il me serra très fort dans ses bras. On s'embrassa. C'était nos au revoir. Ou nos A Dieu, peut-être...

    Il s'éloignait déjà, lorsqu'il me dit: «Tu sais, certain sujet sont plus faciles à aborder par téléphone... On pourrait en reparler au téléphone...» L'émotion était très forte encore en lui, habitant encore chacun de ses traits du visage, parasitant chacune de ses expressions...

    J'acquiesçais. On en reparlera au téléphone.

    Depuis, nous nous sommes eu pratiquement tous les jours au téléphone. Mais, nous n'en avons pas reparlé.

    La situation n'est pas plus claire. Je n'ai pas plus de réponse.

    Je ne sais comment traduire son émotion, ce qu'elle cachait, ce qu'elle révélait...

    Ma décision... Je la prendrais en fonction de ce que me dicte mon cœur. Tout simplement.

    Mais en moi, il y a un tel brouhaha, tant de voix contraires qui s'élèvent que je ne sais plus laquelle appartient à mon cœur...


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  • Je vais bien.
    Enfin, selon le Dr Pierre Paul Jacques puisque je n'ai plus de fièvre... Je ne suis pas hypocondriaque, seulement, je considère cette fièvre comme un clignotant qui se serait allumé pour me dire « Attention, il y a quelque chose en toi (sur un plan physique) qui ne va peut être pas très bien... ». Et comme ce doc ne m'a ausculté que très sommairement il n'a pu rien voir... Lorsque je vais retourner chez moi, je mettrais en place un « programme santé ». Mais déjà là, je vais limiter les dégâts... En effet, je sens mon système immunitaire bien faible...

    Ces derniers jours furent chargés pour moi. Mon collègue que je remplaçais est revenu de ses vacances. Donc, j'ai dû faire le point avec lui pour voir où nous en sommes au niveau compta, administration, etc. afin qu'il puisse reprendre réellement du service. Et, ce qu'il en ressort déjà c'est que nous avons fait un bien meilleur chiffre d'affaire ce mois d'août par rapport à celui de l'année dernière ! Nous étions hyper fiers Miouss et moi. Notre collaboration a donc été très fructueuse !


    Cette semaine étant très prise entre mon boulot et ma petite santé je n'ai pas vu Mon Amour de Nck. Et, surtout, je n'ai pas répondu à ses appels. Aujourd'hui, je lui téléphone. Il était heureux de m'entendre. Il m'a dit : - Je croyais que tu étais retournée chez toi...
    Au son de sa voix plus qu'un reproche j'ai entendu de la tristesse dû à mon silence...
    Je lui ai répondu avec beaucoup de douceur et sur le ton de l'évidence : - Je ne serais jamais partie sans te dire au revoir !
    Mais il m'a rétorqué : - Pourtant, quand tu es arrivé tu ne m'en a pas averti tout de suite !
    Je sentais la rancœur monter sournoisement...
    Puis, il a continué : - Maintenant que tu es en congés, tu peux rester chez moi... demain, après-demain... Bref, tous les autres jours ! Comme tu veux !
    En effet, pour que la pilule passe mieux à son niveau, pour justifier mon choix de rester chez Miouss plutôt que d'être chez lui j'avais évoqué la distance trop grande entre chez lui et mon lieu de travail...
    Je sentais que ce n'était pas seulement une proposition... Par cette demande, il semblait vouloir me tester, peut-être voulait-il se rassurer sur mes sentiments à son égard...

    De cette conversation, j'ai compris que Nck avait aussi un certain nombre d'attente vis-à-vis de moi mais qu'il ne les exprimait pas. Peut-être par peur de trop montrer ses sentiments ? Par pudeur ? Par fidélité à ses principes de froideur ? J'ai réalisé aussi qu'il doit me trouver distante parfois, froide aussi. Pas amoureuse certainement. Il doit penser qu'il n'a pas vraiment de place dans ma vie...
    Quelle erreur puisque c'est tout le contraire !

    Dans cette relation, nous avons tous les deux des comportements qui ne nous correspondent pas, et surtout, qui ne nous satisfont pas... J'ai à plusieurs reprises tenté d'abattre ce mur entre nous, en vain. Peut être que lui de son côté aussi essayait de se rapprocher subrepticement de moi ... et moi je n'ai rien vu, rien compris ! Et j'étais en train de me plaindre sur cet homme si distant...,
    Peut-être, tout simplement, ne savons-nous pas nous s'y prendre l'un avec l'autre... C'est le plus sûr moyen de ne jamais nous rencontrer !

    Bientôt, je repars chez moi.
    On aura une discussion ensemble. J'en ai besoin. Peut-être avec un secret espoir qu'il y ait encore une chance pour notre relation... Peut-être pour lâcher prise totalement... Je sais qu'il aura longtemps encore une place privilégiée dans mon cœur. Mais je suis prête à avancer vers un autre futur, avec un autre homme...
    Ou avec lui...
    Ooops !


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